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Information Récente

 

Les dispositions de lutte antidopages entrées en vigueur le vendredi 21 janvier 2011 prévoient que les contrôles inopinés à l'entrainement ou en compétition peuvent être de type urinaire ou sanguin. Dans ce cadre , il est impératif pour les nageurs ou nageuses mineurs de disposer d'une autorisation parentale de prélèvement sanguin. Par conséquent il faut que chaque nageuse ou nageuse ( ou à défaut le responsable du club) soit en permanence en possession de cette autorisation . Nous vous invitons donc à inclure le document joint dans vos documents d'inscription.

Le Comité

 

ATTENTION - Dans le cadre de la lutte contre le dopage, le Ministère des sports a transmis à notre Fédération le nouvel imprimé intitulé " prélèvement nécessitant une technique invasive lors d'un contrôle antidopage concernant les mineurs ou les majeurs protégés" .

 

Cet imprimé annule et remplace le document précédent qui nous avait été adressé en 2012.

Autorisation Parentale Nouvelle Version


NOTE D’INFORMATION AUX PARENTS CONCERNANT LES CONTROLES ANTIDOPAGES

 

Votre enfant participe aux compétitions, il est donc susceptible de subir des contrôles antidopage.

Ces contrôles peuvent survenir lors de ces compétitions, mais aussi pendant l’entraînement ou un stage.

 

Qu’est-ce qu’un contrôle antidopage ?

C’est un procédé visant à déterminer si un sportif prend des substances interdites par l’Agence Mondiale Antidopage (AMA). Le prélèvement réalisé peut être de plusieurs natures : urine(le plus souvent), sang, salive, cheveux, air expiré.

 

Qui réalise ce contrôle ?

En France, c’est un médecin préleveur agréé et missionné par l’Agence Française de Lutte contre le Dopage (AFLD) qui effectue ce contrôle, sur demande de l’AFLD, du Ministère Santé Sport ou de la Fédération Française de Natation.

 

Comment est désigné l’athlète ?

L’athlète est choisi uniquement par le médecin préleveur : sur une liste établie, par tirage au sort, ou en fonction des performances présentes et passées (podium, records…), et en présence du délégué fédéral.

 

Comment se passe ce contrôle ?

Dès la fin de l’épreuve, une personne formée à cette fonction (escorte ou chaperon) et du même sexe que l’athlète ou le médecin préleveur convoque l’athlète désigné qui a alors au maximum 1h pour se présenter. L’athlète peut se faire accompagner de la personne de son choix (sauf pendant le prélèvement).

A son arrivée sur le lieu du contrôle, l’athlète doit justifier son identité (carte d’identité) et s’entretient avec le médecin préleveur en vue d’établir son profil médical : traitement en cours, antécédents médicaux, autorisation thérapeutique (AUT). Il doit ensuite uriner dans un bocal sous la surveillance du médecin. Enfin, il répartit le contenu du bocal dans les deux flacons qui serviront aux analyses en laboratoire et signe, avec le médecin et le délégué fédéral, le procès-verbal du contrôle.

 

Peut-on se soustraire au contrôle ?

Le fait de refuser ou d’arriver en retard au contrôle est considéré comme une violation du règlement de contrôle antidopage : l’athlète est alors considéré comme positif.

 

Qu’est-ce qu’un contrôle positif ?

C’est un prélèvement dans lequel on va retrouver des substances interdites par l’AMA.

 

Que risque l’athlète ?

Une suspension temporaire ou définitive de la compétition.

 

EN CONSEQUENCES

Pas d’automédication, informez le médecin traitant que votre enfant fait de la compétition. S’il décide de prescrire un traitement figurant sur la liste des produits interdits, le médecin aura obligation de remplir un dossier à faire parvenir à l’AFLD.

• « Déclaration d’usage » plutôt pour des traitements courts,

• « Demande d’Autorisation d’Usage à des fins Thérapeutiques » (AUT) (plutôt pour des traitements longs comme l’asthme).

 

Ces documents sont disponibles sur le site de l’AFLD : www.afld.fr

N’oubliez pas que le dopage commence avec la prise de substances en vue d’améliorer temporairement ou durablement ses capacités physiques.